chez moi Au loin on voit les neiges qui fondent Au coin juste au coin du monde A deux pas de chez toi A deux pas de chez moi Que la lumiere soit
Je voudrais du soleil vert Des dentelles et des thi??ii??res Des photos de bord de mer Dans mon jardin d'hiver Je voudrais de la lumii??re Comme au Nouvelle
dans le sang Dans le sang Et toi, je te vois Comme personne ne te voit On ne te connait pas comme moi Comme moi O, mon amour Dis-le-moi une fois seulement
Agitee comme un roseau dans la tourmente Tout m'enerve et tout m'irrite en ce moment Le monde me desenchante Par ce beau jour de printemps Fatiguee,
On allait au bord de la mer Avec mon pere, ma s?ur, ma mere On regardait les autres gens Comme ils depensaient leur argent Nous, il fallait faire attention
des chose si douces Racontes-moi des reves Des histoires de fou Sur le bout des levres Racontes-moi tout Sens la c'est des soleils Sur ta peau saline Dessine-moi
Ca ne previent pas quand ca arrive, ca vient de loin Ca s'est promene de rive en rive, la gueule en coin Et puis un matin, au reveil, c'est presque rien
me fais des chose si douces Racontes moi des reves des histoires de fou sur le bout des levres racontes moi tout le soleil c'est dessine sur ta peau saline dessine moi
chez moi Au loin on voit les neiges qui fondent Au coin juste au coin du monde A deux pas de chez toi A deux pas de chez moi Que la lumiere soit (Grazie
Desuets Ces petits bancs de square Pris entre les boulevards Et les nuages gris Denues De toute fantaisie Mais tellement jolis Desuets Les costumes "
Sur la lande, au bord de l'etang Ou la brume est bleue Seule, je flotte et l'ombre s'etend Dans le soir frileux {Refrain:} La, le ciel, pour quelques
A quoi tu joues beau tenebreux avec tes yeux couleur d'automne Tes joues qui fondent, le ventre creux Qu'est ce que tu veux Boster Keaton Besoins
Ca ne previent pas quand ca arrive Ca vient de loin Ca c'est promene de rive en rive La gueule en coin Et puis un matin, au reveil C'est presque
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine Un reste de racine, c'est un peu solitaire C'est un eclat de verre, c'est la vie, le soleil C'est la mort,
J'avais imagine Qu'une allee suffirait Pour te rencontrer. Une allee ca suffit, On laiss'rait sous la pluie S'emmeler nos parapluies. Sait-on jamais