Die Bouzouki klang durch die Sommernacht. Du nahmst meine Hand ich hab' dich nicht gekannt doch ich ging mit dir. Still lag das Meer die Feuer gingen
envie De bruler sa vie Sous un vrai printemps Elle avait vingt ans Elle a pris la mer Vers un ciel plus clair Me laissant le gris, nostalgie Un amour d
d'un peuple epris De sa vieille cite Pres de Notre Dame Parfois couve un drame Oui mais a Paname Tout peut s'arranger Quelques rayons Du ciel d'ete L'accordeon D
quoi Pour le seduire Il venait d'avoir 18 ans C'etait le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parle d'amour Il pensait que les mots d'amour
delices candidate. Comme un jour qui tue la nuit, une pluie qui tue la soif. Le feu dans ses eaux, dans les draps, danses de coregraphe. Puisant nos ebats bas dans sa
S'il n'en restait qu'une Pour jouer son bonheur Et miser sa fortune Sur le rouge du coeur Pour accepter les larmes Accepter nuit et jour De se livrer
C'est pour moi Puis vient le soir Les amants dans l'placard Ca m'inspire Dire que je vais passer Toute la nuit Assise C'est quand meme triste D'etre vissee a sa
horses Like a ring from saturn A balloon from carnaval Comme le chemin de ronde Que font sans cesse les heures Le voyage autour du monde D'un tournesol dans sa
de fer. Lui qui n'est = pas homme d'action est devenu maitre de guerre. Apres le cyclone = qui frappa sa mere et son pere d'une etoile jaune, idee
disait tout a l'heure? Quand elle parlait d'un noceur? Puis elle a parle d'un dandy, d'un rouleur Et aussi d'un cargo, d'un croiseur Et de gens qui
ruelles et sur nos tours Le jour se leve sur notre envie de vous faire comprendre a tous que c?est a notre tour D?assumer nos reves, d?en recolter
donne-moi le cric, la bombe lacrymogene, Vi, donne-moi une cle, donne-moi sa plaque que je la raye sa BM, que je la creve sa BM, que je la saigne comme il te blesse sa
rides de son visage Je te parle de son recit qui pendant des decennies a traverse plus d?un paysage Rouda : C?est l?histoire d?un tour du monde d?une
Des aventures de gamins A la maison, ses parents Sont comme avant bien gentils Ignorants tout de sa vie Elle voudrait bien leur crier "Regardez-moi, tout a change Pendant le temps d
abandonnes, Et comme les nuits d'hiver se faisaient longues Je ramenais a la maison des copains, Des chiens perdus, des vagabondes Et ma plante vivait d'megots Et d
sa chaleur, ni sa lumiere Moi, j'avais le soleil Jour et nuit dans les yeux d'Emilie Je rechauffais ma vie a son sourire Moi, j'avais le soleil Nuit