les cassez. Oubliez-les, si fair' se peut, Qu'ell's se reposent. Quand vous nous les dorlotez pas, Vous nous les passez a tabac. Oubliez-les, si fair
d'ouir les sirenes, cre de nom de nom, Mais de ne plus pouvoir entendre au defile d'la clique, Les echos du tambour, de la trompette et du clairon. Et les
Je veux dedier ce poeme A toutes les femmes qu'on aime Pendant quelques instants secrets A celles qu'on connait a peine Qu'un destin different entraine
art Toutes les ficelles. Affaire conclue, En une heure elle eut, L'adresse requise. En change, moi J' cueillis plein d'moi Ses lvres exquises. {2x} Et durant un temps Les
En forme de triangle Arrivent planent, et passent Ou vont ils? ... qui sont-ils ? Comme ils sont loins du sol Regardez les passer, eux Ce sont les
chapeaux pointus Les commeres choisies pour les cordons du poele Et nul ne leur criait: "A poil ! A poil ! A poil !" Les quat'z'arts avaient fait les
C'etait l'oncle Martin, c'etait l'oncle Gaston L'un aimait les Tommies, l'autre aimait les Teutons Chacun, pour ses amis, tous les deux ils sont morts
emmene, les mains liees, Les mains liees. On fit venir a la prison, Sans vergogne, Les parents des mauvais garcons, Mauvais garcons. Les trois premiers
moindre noblesse, excusez-moi du peu, C'etaient, me direz-vous, des graces roturieres, Des nymphes de ruisseau, des Venus de barriere... Mon prince, on a les
Jule' et Felicien, Embrasse-les tous, {2x} Dieu reconnaitra le sien ! Passe-les tous par tes armes, Passe-les tous par tes charmes, Jusqu'a c' que l'un d'eux, les bras
'quart C'est elle qui leur montrait le nord Leur montrait le nord Et quand ils etaient en detresse Qu'leurs bras lancaient des S.O.S. On aurait dit les semaphores Les
etaient tous morts a la guerre Passes de vie a trepas J'suis tombe sur une belle Qui fleurissait un peu la J'ai voulu greffer sur elle Mon amour pour les
temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funebres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant Les belles pompes funebres de nos vingt ans Maintenant, les
Les gens qui voient de travers Pensent que les bancs verts Qu'on voit sur les trottoirs Sont faits pour les impotents ou les ventripotents Mais c'est
raison!) C'est pour la bouch' du premier venu Qui' a les yeux tendre' et les mains nues... {Refrain:} Les croquants, ca les attriste, ca Les etonne, les
. Jamais plus, officiel, Je ne suis remonte jusqu'au septieme ciel ! Le Bon Dieu deconnait. J'ai decroche Jesus De sa croix: n'avait plus rien a faire dessus. Les
les pecor's lubriques Avaient bondi Vers les champs de radis. L'?il fou, l'ecume aux dents, ces furies se jeterent en meute Dans les champs de radis
enterres Par les croqu'-morts ameliores ! Et c'est pourquoi j'ai fait ce chant Qui va permettre aux braves gens De distinguer les funeraires, Les anciens