'a jamais revus. Alors, aux soirs de lassitude, Tout en peuplant sa solitude Des fantomes du souvenir, On pleure les levres absentes De toutes ces belles passantes
Les passants passant, j'passe mon temps a les r'garder penser, leurs pas presses, dans leurs corps leses, leurs passes se devoilent dans les pas sans
l'ai quittee C'etait dans la haine De vous a elle en passant par moi Les bouquets de fleurs et les lilas Elle ne savait pas que c'etait moi De vous a elle en passant
'a jamais revus Alors, aux soirs de lassitude Tout en peuplant sa solitude Des fantomes du souvenir On pleure les levres absentes De toutes ces belles passantes
y voir ce que j'etais. Tous les passants s'en sont alles, Jean de Flandre, Jean de Navarre, Le petit John des Ameriques, Tous les passants s'en sont
'etait des paix que l'on ne signait pas Des routes m'emmenent, je ne sais ou J'ai vu des oiseaux, des printemps, des cailloux En passant Toutes nos
en passant J'ai reve comme on reve la nuit En s'endormant J'ai reve pres du sommeil ami Des braves gens Sur le bord de la ville endormie Juste en passant
En passant a toute allure devant "Paix en Algerie" ecrit sur le mur Je me dis que ces lettres noires Un peu vieillies sur le mur, sur le mur a l'ecart