xomment l'aimer Il a l'air d'hesiter entre une histoire d'amour ou d'amitie Et je suis comme une ile en plein ocean On dirait que mon coeur est trop grand
sens bien innocent. Innocent dans le sens de non-coupable. De profiter de mon temps. Mon temps que j'aimerais mettre en bouteille. Comme une reserve speciale. Comme
qui me fait souffrir Qu'est-ce que tu dirais Si j'etais debout sur ma tete? Comme un roi fatigue D'avoir toujours marche L'eau qui coule sur mes doigts Comme
le front malheur, A l?heure des Anglais qui ne savent meme pas Que je suis existant L?autre cote des mers L?autre cote des cieux Acier parmi les
, je pleure en m?assurant qu?il est deja trop tard Trop tard pour le bonheur eternel Trop tard pour le grand pays des merveilles En me repetant, comme
meme Ailleurs Tout reprendre a zero Longer les meduses en radeau Reecrire notre histoire Refaire le grand jeu des grand soirs Pourtant jamais au grand jamais Nul ne t'aimait comme
ou Bruxelles bruxellait Place de Broukere on voyait des vitrines Avec des hommes des femmes en crinoline Place de Broukere on voyait l`omnibus Avec des femmes des
ouverts a l'infini Car moi je suis comme la mer, J'ai le c?ur trop grand pour un seul gars J'ai le c?ur trop grand et c'est pour ca Que j'ai pris l'amour
belote avec des mecs comme nous, Des coquins, des apaches, des hiboux. Faut pas s'tromper : nous ne sommes pas bons a tout. On est des poisses, des
rue C'est le froid de l'hiver Dans les yeux grands ouverts Des enfants de la rue Collant aux vitres leurs museaux Tous les petits font le gros dos Ils sont blottis comme des
Il avait de grands yeux tres clairs Ou parfois passaient des eclairs Comme au ciel passent des orages Il etait plein de tatouages Que j'ai jamais tres
C'etait le decor attendu D'un bar de la Tamise Avec son ennui repandu Comme une fumee grise Son frisson de journaux froisses Son tintement de verres
-tu? Des annees - lumiere blanches Par dessus Il y a le bruissement de tes ailes Et les grand souflles qui nous appellent A la longue Toujours des fleuves qui me remontent Et des
que tout aille bien C'est comme ces fumees rouge-oranges Des rubans qui s'etranglent Autour de mon cou c'est etrange On pourrait bruler, ahh avaler Le grand deversoir des
que tout aille bien C'est comme ces fumes rouge-oranges Des rubans qui s'tranglent Autour de mon cou c'est trange on pourrait brler Ahh Avaler le grand rservoir des
-la... Et je vole, Et je coule Comme une plume. Si les grands yeux de mon Dieu Ne me gardaient pas, Je te volerais Ne t'enfuis pas! Tu as des ailes,
cadre en bois Y'a la moustache du pre Qu'est mort d'une glissade Et qui regarde son troupeau Bouffer la soupe froide Et a fait des grands (guff) Et a fait des grands