que sur le cable Mes amis sont sur Internet. A force de mater mon ecran J'evolue doucement vers le rien L'obsolete necessite Du culte du plateau tele
Arrivee huit heures, neuf heures et quart Le visage bouffi la tete en petard Je jette un oeil alentour Leve et secoue la main pour Saluer mes collegues
Il a toujours ce regard eteint Du haut du ridicule trone Qu'il s'invente pour juger les siens Sur terre il y a lui et la faune Je sais qu'il aime accumuler
J'ai un gout bizarre dans la bouche, Comme un lendemain d'fete permanent. A vouloir vivre en "Sainte-n'y-touche" On s'emmerde profondement. Qu'on m'assomme
A peine parti, deja en r'tard J'accroche a mes oreilles Un sourire qui ne tombera Qu'au coucher du soleil Tous ces costumes et ces chapeaux Qui s'amoncellent
Le quart de siecle est maintenant passe Va falloir penser a faire le point T'as bien fini par te poser La ou l'on t'attendait le moins Tes muses ont
Quand Besac fait sa mauvaise tete Et que sa boucle se resserre Je sens le jour reveille Tout seul sous mon petit manteau Un mal de crane merite Qui
Thomas s?ra mort avant minuit La bouche tordue, le verbe haut Commence par te servir un verre Guillaume en sortant du boulot S?est transforme en Aldebert
J'ai pu attendre jusqu'ici Car me cacher est mon devoir Agir avec diplomatie Ma position est derisoire. Desireux d'occuper ton espace Un clown sordide
Versatile a defaut d'etre honnete Souvent devant, toujours en tete Les quelques mots qu'elle manie bien Ont un p'tit air de deja rien Mathilde... Mathilde
Ca y est, j'ai trouve du travail Selectionne sur entretien Je vais pouvoir faire ripaille "Faut feter ca", c'est super bien. Je depense tout sans me