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Lyrics: La Ruda Salska. Passager Du Réel. Les Nuits Diluviennes.


...Missing in the rain...
Comme dans le "Singe en hiver", revant de "Mer de Chine"...
De maintes et mille chimeres que le vent de "T'ien-Tsin" balaye au soleil levant:
J'aiguille mes nuits de vaines morphines, laissant les bras de "Morpheee"
Embrassant les divines fees de traversee facile...
Ange aux mirages ephemeres, tes demons "heroine" melangent en mon univers
L'amer limon, l'orange sanguine et la cigue...
Dans mon vers ondoient les sphinges a corps de lion au ciel des jardin
"Des babylone de Babylone"....
Sans elles, comment prendre mon envol ? Sans toi, je degringole...
...Mais chaque fois que "l'abandon" me berce, la voix de "Cupidon" s'en mele
Et me transperce de tridents qui versent en mon sang,
La celeste essence scellant ma dependance...
Chaque fois ton poison m'ensorcelle, je bois...
Tant que ma raison chancelle !
Et je me plonge dans un bain denue d'eceuil,
Aux nuees des songes emnues de "Gabin" et "Verneuil"...
...Comme un poisson volant, je navigue entre deux mondes en fillant
D'un poison l'autre, allant d'un serum a un autre...
Et d'un abandon l'autre je te fuis, je t'attends au fil de mes nuist blanches...
...Mais ne croit pas que je serai ta proie !
Je debouterai le "Minotaure" du labyrhinte ou j'erre en ton empreinte.
Et j'harponnerai le "Leviathan" dans l'ocean fourieux ou je me noie.
Je combattrai "l'Imperator" qui regne en moi,
Et les dieux et les rois, dans le choc des titans!...
..."Ho Chi Ming-Ville" l'ancienne "Saigon" file dans mes veines...
Et m'assaillent hostiles, fulminent, m'alienent
Les dragons des pandemoniums...
Et "Shangai",
"Tai-wan" l'ancienne "Formose" s'ecoulent en mes nuits diluviennes...
Et m'assaillent l'alcool de riz, la foule, les fumeries d'opium...
Quitte mon delirium "Aphrodite" ou que tu reviennes !

Quand la "Loire, lent serpent docile,
Prends au soir les semblans du "Nil",
La "Lune" s'y endort et son fils d'or tend mon lit de fortune,
Ou je m'invente en mon exil un corridor parmi la brume
Qui mene au dunes et pyramides,
Au blanc phosphore des ecumes ...
...chaque fois que je monte en l'Olympe,
Tournoient les sillons de ta nimbe....
Et je retombe dans les tourbillons de ma flamme, du toit du monde,
Pandu au long de ta palme....
Chaque fois ton putain de soleil flamboie!...
Qui l'atteint se brule les ailes !
Et comme "Icare", je bascule au sempiternel
Et se reveille se mal que j'ai au fond de moi...
...Dans l'entonnoir de mes nuits sans sommeil, tourne en moi ta vision ...
Au fond je sombre avec!
Et je bois a ta victoire et je te delaye dans l'urinoir, ma jolie...
Et que j'essuie mon echec !....
...Car ne croit pas que je serai ton esclave !
Je deviendrai ce "gladiateur" qui dans l'arene c'est delivre des chaines.
Et je vaincrai la "mandragore" qui agit en moi de la pis magie noire.
Je renierai le "Createur" qui se dechaine comme il fit
Autrefois a "Sodome" et "Gomorrhe"!...
..."Ho Chi Ming-Ville" l'ancienne "Saigon" file dans mes veines...
Et m'assaillent hostiles, fulminent, m'alienent
Les dragons des pandemoniums...
Et "Shangai",
"Tai-wan" l'ancienne "Formose" s'ecoulent en mes nuits diluviennes...
Et m'assaillent l'alcool de riz, la foule, les fumeries d'opium...
Quitte mon delirium "Aphrodite" ou que tu reviennes !...
Ou que tu reviennes