Lyrics: Gilbert Bécaud. Bécaud Olympia 1991. Les Tantes Jeanne.
:
Les madames qui venaient
voir notre oncle apres diner,
on les appelait tante Jeanne.
Ce n'etaient jamais les memes,
mais on les aimait quand meme,
on aimait nos tantes Jeanne.
C'est tonton qui etait content
quand il enlevait leurs gants.
Il les appelait 'Chere Jeanne.''
Oh, les jolies vacances
quand une tante Jeanne venait.
Oui, les jolies vacances
que notre tonton se payait.
Nous, quand on me demandait
combien de tantes on avait,
on avait de tantes Jeanne,
on disait qu'on savait pas.
Quand on aime, on compte pas,
compte pas ses tantes Jeanne.
Ce qui etait important,
c'est que tonton soit content,
soit content des tantes Jeanne.
He, les jolies vacances
quand une tante Jeanne venait.
Ah, les jolies vacances
que notre tonton nous payait.
Nous, ca nous arrangeait bien,
on nous envoyait au cinema.
En echange on promettait bien
de ne rien dire a grand-papa.
Quand on rentrait vers minuit,
on ne faisait pas de bruit,
pas de bruit pour tante Jeanne.
Dire qu'on etait trop petit
pour en avoir une aussi
une aussi de chere Jeanne.
Pour le petit dejeuner
tonton etait toujours gai,
jorobobo et bobobori, chere Jeanne.
Ah, les jolies vacances
quand une tante Jeanne venait.
Ah, les jolies vacances
que notre tonton se payait.
Maintenant on a grandi,
notre tonton a vieilli
et vieilli les tantes Jeanne.
Mais nous, quand on va le voir,
comme il a plus de memoire,
on reveille les tantes Jeanne.
Alors il est tout content,
il retrouve le bon temps,
le bon temps des cheres Jeanne.
Et puis, les jolies vacances
des tantes Jeanne passaient,
oui, les jolies vacances.
Viens tonton, on va t'embrasser
Les madames qui venaient
voir notre oncle apres diner,
on les appelait tante Jeanne.
Ce n'etaient jamais les memes,
mais on les aimait quand meme,
on aimait nos tantes Jeanne.
C'est tonton qui etait content
quand il enlevait leurs gants.
Il les appelait 'Chere Jeanne.''
Oh, les jolies vacances
quand une tante Jeanne venait.
Oui, les jolies vacances
que notre tonton se payait.
Nous, quand on me demandait
combien de tantes on avait,
on avait de tantes Jeanne,
on disait qu'on savait pas.
Quand on aime, on compte pas,
compte pas ses tantes Jeanne.
Ce qui etait important,
c'est que tonton soit content,
soit content des tantes Jeanne.
He, les jolies vacances
quand une tante Jeanne venait.
Ah, les jolies vacances
que notre tonton nous payait.
Nous, ca nous arrangeait bien,
on nous envoyait au cinema.
En echange on promettait bien
de ne rien dire a grand-papa.
Quand on rentrait vers minuit,
on ne faisait pas de bruit,
pas de bruit pour tante Jeanne.
Dire qu'on etait trop petit
pour en avoir une aussi
une aussi de chere Jeanne.
Pour le petit dejeuner
tonton etait toujours gai,
jorobobo et bobobori, chere Jeanne.
Ah, les jolies vacances
quand une tante Jeanne venait.
Ah, les jolies vacances
que notre tonton se payait.
Maintenant on a grandi,
notre tonton a vieilli
et vieilli les tantes Jeanne.
Mais nous, quand on va le voir,
comme il a plus de memoire,
on reveille les tantes Jeanne.
Alors il est tout content,
il retrouve le bon temps,
le bon temps des cheres Jeanne.
Et puis, les jolies vacances
des tantes Jeanne passaient,
oui, les jolies vacances.
Viens tonton, on va t'embrasser
Bécaud...
Gilbert Bécaud
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