Lyrics: Francis Cabrel. Comme Une Madone Oubliée.
Tous les soirs, la meme fille attend
Sur le meme square, le meme banc
Comme une madone oubliee, les jambes croisees
Elle voyage au milieu des maisons
Dans la nuit bleue des televisions
Comme les fantomes legers, les voiles de fumee
On dit qu'elle a des chambres en ville
On dit qu'elle dort sur le cote
Qu'elle est plutot d'humeur facile
Qu'on ne la derange jamais
Qu'il y a des tas de chats qui dorment
En travers sur ses oreillers
Au milieu du parfum des hommes
Et meme si tout ca c'etait vrai
Au milieu des feuilles et des brindilles
Elle fait son show sur talons aiguilles
Elle joue son cinema muet
Elle tend ses filets
Et sur les allees du square s'imprime
Le pas de ses futures victimes
Qui viendront s'incendier le c?ur
Aux etranges lueurs
On dit qu'elle est l'amie fidele
De ceux qui n'osent pas parler
Qu'elle connait le chant des sirenes
Qu'elle peut aussi le murmurer
Qu'il y a des tas de gens qui l'aiment
Et qui ne lui sourient jamais
Que ce ne sont jamais les memes
Et meme si tout ca c'etait vrai
Quels que soient les murs qui te protegent
Un soir tu te prendras a son piege
Le soir ou tu seras devenu
Une ombre de plus
Car tous les soirs, la meme fille attend
Sur le meme square et sur le meme banc
Comme une madone oubliee
Les jambes croisees
Sur le meme square, le meme banc
Comme une madone oubliee, les jambes croisees
Elle voyage au milieu des maisons
Dans la nuit bleue des televisions
Comme les fantomes legers, les voiles de fumee
On dit qu'elle a des chambres en ville
On dit qu'elle dort sur le cote
Qu'elle est plutot d'humeur facile
Qu'on ne la derange jamais
Qu'il y a des tas de chats qui dorment
En travers sur ses oreillers
Au milieu du parfum des hommes
Et meme si tout ca c'etait vrai
Au milieu des feuilles et des brindilles
Elle fait son show sur talons aiguilles
Elle joue son cinema muet
Elle tend ses filets
Et sur les allees du square s'imprime
Le pas de ses futures victimes
Qui viendront s'incendier le c?ur
Aux etranges lueurs
On dit qu'elle est l'amie fidele
De ceux qui n'osent pas parler
Qu'elle connait le chant des sirenes
Qu'elle peut aussi le murmurer
Qu'il y a des tas de gens qui l'aiment
Et qui ne lui sourient jamais
Que ce ne sont jamais les memes
Et meme si tout ca c'etait vrai
Quels que soient les murs qui te protegent
Un soir tu te prendras a son piege
Le soir ou tu seras devenu
Une ombre de plus
Car tous les soirs, la meme fille attend
Sur le meme square et sur le meme banc
Comme une madone oubliee
Les jambes croisees
Francis Cabrel
Francis Cabrel
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